Hommage à Jean Starobinski par Georges Nivat On finissait par oublier son âge : Jean Starobinski était d’une éternelle jeunesse. Une jeunesse attribuée par les dieux, les dieux grecs, Athéna sûrement, mais aussi Asclépios, le dieu auquel Socrate dédia ses derniers mots. Car il était médecin, philologue, pianiste, et en toute chose connaissait la divine « mesure », […]